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GRANDI MUSICISTI ITALIANI

ET OUI LES AMIS CE SOIR J'AI ENVIE DE MUSIQUE

J'ADORE LA MUSIQUE......  TOUTES LES MUSIQUES
BON SOYONS HONNETE  PAS TROP LE RAP...... OU LE HIP HOP
MAIS J'AIME LE SLAM..... ( DE GRAND CORPS MALADE... GENIAL)

MAIS CE SOIR JE NE VAIS PAS "SLAMER"   CA VIENDRA UN JOUR.... J 'ADORE FAIRE DES RIMES...
NOUS ALLONS PARLER "GRANDE  MUSIQUE"  ET SURTOUT GRANDS AUTEURS ITALIENS
ALORS POUR COMMERCER NOUS ALLONS FAIRE CONNAISSANCE AVEC /

GIUSEPPE VERDI



Giuseppe Fortunino Francesco Verdi est un compositeur romantique italien né le 10 octobre 1813 aux Roncole, mort le 27 janvier 1901 à Milan. Son œuvre, composée essentiellement d’opéras très populaires de son vivant, connaît encore aujourd’hui un très grand succès.

Il est l’un des compositeurs d’opéra italien les plus influents du XIXe siècle, bien au-delà de Bellini, Donizetti et Rossini[1]. Ses œuvres sont fréquemment jouées dans les maisons d’opéra du monde entier et, dépassant les frontières du genre, certains de ses thèmes sont depuis longtemps inscrits dans la culture populaire comme La donna è mobile de Rigoletto, Libiamo ne' lieti calici de La traviata et le chœur Va, pensiero de Nabucco. Bien que ses compositions soient parfois critiquées pour utiliser un diatonisme sacrifiant au goût populaire plutôt qu’un idiome musical purement chromatique et pour leur tendance au mélodrame, les chefs-d’œuvre de Verdi dominent encore le répertoire un siècle et demi après leur création[2].

Visionnaire et engagé politiquement[3], il demeure, aux côtés de Garibaldi et Cavour, une figure emblématique du processus de réunification de la péninsule italienne, le Risorgimento[4].

Lorsque Verdi naît, le 10 octobre 1813, dans le petit village des Roncole, proche de Busseto, le département français du Taro est alors sous domination napoléonienne. Les troupes autrichiennes reprennent cependant le Duché de Parme et Plaisance à peine quelques mois plus tard, en février 1814. La région restera sous le règne de l’archiduchesse Marie-Louise d'Autriche, l’ex-impératrice des Français, jusqu’à la mort de celle-ci en 1847. Verdi aura malgré tout été français durant les quatre premiers mois de sa vie, ce que semble avoir voulu dissimuler sa mère. Sans doute pour des motifs stratégiques de carrière future, elle a constamment déclaré à son fils qu’il était né le 9 octobre 1814. Verdi a d’ailleurs tout au long de sa vie fêté son anniversaire les 9 octobre. L’acte de naissance de Verdi porté à l’état-civil de la commune de Busseto est ainsi rédigé en français :

«  L’an mil huit cent treize, le jour douze d’octobre, à neuf heures du matin, par devant nous, adjoint au maire de Busseto, officier de l’état civil de la Commune de Busseto susdite, département du Taro, est comparu Verdi Charles, âgé de vingt huit ans, aubergiste, domicilié à Roncole, lequel nous a présenté un enfant du sexe masculin, né le jour dix courant, à huit heures du soir, de lui déclarant et de la Louise Uttini, fileuse, domiciliée aux Roncole, son épouse, et auquel il a déclaré vouloir donner les prénoms de Joseph-Fortunin-François[5].  »

Le petit Giuseppe grandit au contact des musiciens ambulants qui font halte à l’auberge.
Les origines de la vocation musicale

De même, bien que Verdi l’ait certainement ignoré, musicalement, « l’enfant n’était pas né de rien[9] » comme il se plaisait à le laisser penser. On trouve en effet au XVIIIe siècle, dans la branche bolonaise de la famille Uttini, deux cantatrices, un ténor, contemporain et connu de Mozart et un compositeur, Francesco Antonio Uttini (1723-1795). Ce dernier, marié à une nièce d’Alessandro Scarlatti, est l’auteur d’une vingtaine d’opere serie, de chœurs pour les tragédies de Racine[10] et de la messe de couronnement de Gustave III de Suède dont l’assassinat sera le thème du Bal masqué en 1859.

C’est cependant plus en direction de l’environnement social que directement familial qu’il convient de rechercher les origines de cette vocation. L’Italie du XVIIIe siècle s’enthousiasme pour l’art lyrique et bien sûr, ni le duché de Parme et Plaisance ni la ville de Busseto ne sont exempts de cette passion. Le petit Giuseppe est dès sa prime enfance au contact des musiciens ambulants qui font halte à l’auberge des Roncole. L’enfant essaye les instruments, chante avec les chœurs, engrange les souvenirs qui nourriront plus tard l’inspiration populaire de ses opéras.

Mais tout « plongé dans l’extase[11] » qu’il ait pu être à l’écoute des orgues de Barbarie de passage, cette vocation n’aurait pas eu de suite sans la tendre attention que Carlo et Luigia pouvaient accorder à Peppino au sein d’une cellule familiale inhabituellement réduite pour l’époque[12]. Le jeune Verdi aurait peut-être aussi évolué dans l’échelle sociale sans nécessairement devenir musicien si don Pietro Baistrocchi, le maître d’école, organiste de l’église des Roncole et ami de la famille, n’avait pris conscience du caractère exceptionnel de cet attrait de l’enfant pour la musique. Attrait qu’il avait pu remarquer lorsque Peppino restait des heures à l’écouter jouer le répertoire tant sacré que profane.

Son père lui achète une vieille épinette sur laquelle Peppino va pouvoir faire ses gammes.        Le jeune garçon tient l’orgue de San Bartolomeo et celui de San Michele Arcangelo aux Roncole

QUI NE CONNAIT  PAS LE CELEBRE NABUCCO.....

  • Nabucco : le début d’une fulgurante carrière

La seconde commande de Merelli, sur un livret de Temistocle Solera, est le triomphal Nabucco, représenté pour la première fois le 9 mars 1842 à La Scala, avec Giuseppina Strepponi, soprano, dans le rôle d’Abigaille.

D’après le récit destiné à sa biographie et dicté à Giulio Ricordi par le musicien lui-même[30], ce sont les paroles du Chœur des Hébreux, le célèbre Va pensiero, qui ont permis que Verdi retrouve le goût de l’écriture.



Nouveau triomphe pour Verdi à la Fenice avec AttilaTEATRO  LA FENICE  A VENISE
 Rigoletto (1851, Venise).
Le baryton italien Titta Ruffo dans le rôle de Rigoletto
Le baryton italien Titta Ruffo dans le rôle de Rigoletto

Verdi avait envisagé dès la fin 1849 d’écrire à nouveau, pour la Fenice, sur une œuvre de Victor Hugo. Refus de Cammarano qui redoute non sans raison la censure napolitaine : les ciseaux de la Monarchie de Juillet ont en effet interdit la production, sur les scènes parisiennes, du Roi s’amuse qui décrit sans détour la vie dissolue à la cour du Roi de France, avec au centre le libertinage de François Ier. Le compositeur s’adresse donc une nouvelle fois à Piave en le persuadant qu’il tient là « l’une des plus grande créations du théâtre moderne ». Croyant se jouer ainsi des censeurs vénitiens, Verdi change le titre initial pour La maledizione. Ceux-ci ne sont bien sûr pas dupes et qualifient le livret de « répugnante immoralité » et de « trivialité obscène ». La crainte de voir sa saison ruinée, Verdi menaçant de ne pas composer sur un nouveau livret avant le Carnaval, conduit Carlo Marzari, le directeur de la Fenice à intervenir auprès du directeur central de l’ordre public Luigi Martello. Verdi accepte finalement le compromis proposé de transférer l’action à la cour de Mantoue et de remplacer le roi de France par le duc et s’engage à respecter « les exigences de la décence en scène ». Le titre de Rigoletto est enfin substitué à celui de La maledizione.

La partition terminée, Verdi se rend en février à Venise où l’œuvre est donnée le 11 mars 1851. Accueilli par les ovations du public, Rigoletto commence alors à la Fenice une carrière dont le succès éclatant sur toutes les scènes internationales ne s’est jamais démenti. Au sortir de la représentation, La donna è mobile, l’air du duc de Mantoue, est sur toutes les lèvres. La critique en revanche, qui qualifie l’œuvre de « maudite » (L'Italia musicale), d’ « opéra le plus faible du signor Verdi » (le Times)[48] ne réalise pas que Verdi a présenté là son premier grand chef-d’œuvre.


Affiche pour la première de La traviata à La Fenice      Affiche pour la première de La forza del destino au théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg
VOILA DE LA BELLE MUSIQUE PUR UNE DOUCE NUITE   Terry
(Source Wikipedia)

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